Dans de nombreuses parties du monde, différents peuples utilisent le tatouage pour indiquer le rang et l'appartenance sociale, en signe de deuil ou pour honorer les dieux.
C'est en 1771, que le Capitaine James Cook, célèbre explorateur des îles du Pacifique, mentionnait pour la première fois le tatouage dans ses récits de voyage. Il y décrivait l'art du tatouage tel qu'on le pratiquait à Tahiti. C'est d'ailleurs de là que vient le mot « tatouage » qui découle du terme tahitien « tatau » désignant le son des instruments utilisés pour tatouer les clients.
Dans les années 1900, en Angleterre et aux États-Unis, les tatouages étaient surtout associés aux travailleurs manuels comme par exemple, dans les ports de mer ou les grands chantiers de construction ou de coupe de bois.
Les criminels affichaient quant à eux leurs tatouages pour exprimer tantôt leur puissance, tantôt leur désir de liberté ou leur degré de libération sexuelle.